Il est des hommes qui sont entourés de cons. Et j'en fais parti. Il y a différentes sortes de cons. Il y a le con gentil, à qui on ne veut le moindre mal, le con sans personnalité, le con matérialiste, le con superficiel. La plupart du temps, la gravité des sujets abordés par les cons rend les situations dégueulasses. On voudrait se tirer, dire aux cons, qu'ils se mettent leurs idées au cul. Celles qui vous cloîtrent dans un bureau, à rêver de soleil et de plages bondées. Les mêmes qui vous ennuient, qui vous donnent l'impression de toujours vivre le même instant, inintéressant. Mais non, il faut rester poli. Sourire aux matérialistes précaires, archaïques du nouveau monde, aux enfants perdus des dernières technologies. Je les imagines crevés, la gueule ouverte, noyés dans leur connerie. Mais le con ne se reconnaît jamais, il ne pense qu'à sa gueule, à son confort et invente l'empathie pour les autres. Paraître est le credo du con. Disparaître, le mien. Je les vois échanger le faux, pour rompre le silence. Heureusement qu'il a quelques petites choses, hormis ces cons, qui vous invite à vous enrichir. Mais n'allez pas comprendre ce je dis, vous en faites sûrement parti.
samedi
Last Laugh
Posted By
John Doe
1 commentaire:
J'aime lire quelques uns de tes textes ,je m'y retrouve en quelque sorte.
Enregistrer un commentaire