Il est tard, demain j'ai cours. Encore une fois je ne peux pas dormir, mes envies de meutres, de boites de strip-tease et de mondes parallèles refont surface, comme au paradis des gangsters. Un monde bien loin de la réalité, un monde faits de vagabonds solitaires. Dieu sait que tout cela n'existe pas, alors il ne me reste plus que le blues . Un simple cliché de grand buveur, aux comportements dévoyés et, parfois violents, contestataires solitaires et individualiste. Le blues d'un seul homme, celui d'une vie misérable qui force l'homme à cacher ses sentiments. Moi, je les enterrent. Après tout, moi aussi on m'a enterré.
1 commentaire:
Rire c'est risquer de paraître. Pleurer, c'est risquer de paraître fragile.
Aller vers quelqu'un c'est risquer de s'engager.
Exposer ses sentiments, c'est risquer d'exposer son moi profond.
Présenter ses idées, ses rêves aux autres, c'est risquer de les perdre.
Aimer, c'est risquer de les perdre.
Aimer, c'est risquer de ne pas être aimé en retour.
Vivre, c'est risquer de mourir.
Espérer, c'est risquer de désespérer.
Essayer, c'est risquer d'échouer.
Mais, il faut prendre des risques, car le plus grand danger dans la vie c'est de ne rien risquer du tout.Celui qui ne risque rien ne fait rien, n'a rien, n'est rien.
Il peut éviter la souffrance mais il n'apprend rien ne ressent rien, ne peut ni changer ni se développer, ne peut ni aimer ni vivre; il trahit sa liberté.
Seuls ceux qui risquent d'aimer et de vivre sont libres...
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