dimanche

Ballad Of Easy Rider


Art aux portes du monde. Pour ainsi dire, week end bien rempli. Paris et les hyppies du ciel.
Metro et dodo. C'est un temps pour tuer le temps. Un temps pour pardonner ? Mais à qui ? Personne. Les temps changent. Il est temps d'apprendre, tant qu'il en est encore temps. Et après ?
Après, c'est un départ vers des horizons inconnus. Quête de soi, en perte d'altitude.
Mais aussi l'Afrique sur le bord de Seine, comme un anachronisme. Désuétude et attitude de la jeunesse dorée. Je marche sur les boulevards, dandy dans l'âme, mais sans style. Neuilly, Saint Denis, quelle différence ? Toutes ces cars qui tuent mon air, et cette pollution qui me tue. Soudain rien. Des artistes pleins les rues, et des rues pleines d'artistes. Non, ce n'est point pareil, point final. J'aime quand il fait beau et que tout le monde l'est. J'aime les gens. C'est tout un art de cultiver l'altruisme égoïste. Bon, bref, tant pis, j'ai dit ce que je voulais dire.
Paris, c'est fini.

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