mardi

I Will Believe


Une triste journée qui se finis dans un brouillard épais, comme une oasis de paix sous un ciel étoilé. Ne me regardes pas, ne regardes pas en arrière et oublies moi à jamais me dit-elle. Comme si ce temps ne suffisait pas à gâcher mes pauvres journées, comme si la musique s’éteignait, comme si plus rien n’existait. A force de vouloir comprendre et de comprendre, plus rien n’a de sens. Les maux s’en mêlent et supersonic ne veut plus rien dire. On passe ses soirées dans le noir pour mieux voir. Et ce vent qui me glace les mains, ce souffle, ce mur impassible, cette fille qui me dit de fuir. Comme un vieux souvenir, cette vie se répète aux quatre coins du monde sous la même lune, le même ciel et les mêmes sentiments. Les mots s’emmêlent et le pire, c’est que j’ai froid.

Aucun commentaire: