lundi

One Lonely Night


L'insomnie me guette et je voudrais trouver les mots à l'heure qu'il est. Perdu dans ce lot de choses, dans cet immaginaire désiré et irréalisable, je laisse le vent me pisser dessus. Je clame le Tibet Libre, et Israël, tyran affamé de sang. Ce sang, noyé d'encre, je le vois passer, au fil du temps. Sans cesse en mouvement, sans cesse ailleurs, il ne fait que couler comme moi je ne fais que passer. Alors pourquoi ne pas simplement te dire que ma Terre ne tourne plus que pour toi. Pourquoi ne pas simplement quitter le rêve pour la réalité. Parce que tout serait trop facile.

Dream On, the past is gone.

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