Moi aussi j'aurais voulu trouver les mots, les mots justes, mais ma plume m'efface. Face à tout, tout est rien et je ne suis plus. Mon monde change et tout reste. Une plume de moins pour des mots de plus. Désordonné, il chavire, il chavire le rêve. Rêves incertains pour quelques illusions, pour quelques mots. L'Homme, ici même, a perturbé ma pensé, signe que tout a changé et que le monde redeviens. Sans jamais finir mes phrases, ce ne sont plus mes rêves qui sont incertains, mais plutôt moi. Oublions ça pour un moment, le temps passe.
Plus qu'un chemin vers mon rêve, un vagabond solitaire sur la piste de son père. Mélancoliquement poétique, tout ira bien. Bientôt les feuilles mortes et de plus en plus d'indifférence.
Et lorsque tout ce ci sera fini, que notre chemin sera vain et que nous aurons tous finis au bord de celui ci, nous pourrons rêvasser à n'importe quel plaisir solitaire. N'oubliez pas que le temps passe. Les rues se vident, peu importe il faudra courir un jour ou l'autre, la pluie ne cessera. Sans déteindre le monde, les couleurs partent déjà. Alors justement j'aurais voulu lui dire que tout ira bien, mais maintenant, ça ne sert plus à rien.
mercredi
Ma Mélodie
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John Doe
1 commentaire:
Pour que les rues se vident, faut bien qu'elles soient pleine une fois. Et donc qu'elles se remplissent.
Ainsi donc, tu as prouvé le cycle éternelle. Remplir, vider, remplir.
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