Une réalité pour se dire quelque chose, pour suivre les autres. Une réalité pour savourer ce qu'il y a ici bas. Mais pourquoi alors, toutes les bonnes choses ont une fin ? Pourquoi toujours écouter ces autres qui ne pensent qu'à demain? En voilà, une réalité, perdue au milieu de rêves, éparpillée là bas, et dont on ne reverra probablement plus la fin. On aura marché sur les plages, on aura demandé au ciel d'épargner notre chemin, on aura tout fait. On est même rentré. On aura tous regardé les étoiles, au moins une fois, avant de les rejoindres. Et lorsque le soleil ne brille plus,on retrouve les siens, on partage notre bout de quotidien, qui le redevient.
Alors, plus rien comme avant, ivre de sentiments, ivre du passé, on s'est tous crashé, là, oui, ici. Et maintenant on attends, que tout redevienne normal, avec cette étincelle en plus, cette étoile en plus, qui brille dans nos yeux, ces images, et surtout, ces souvenirs pleins les poches. On aura vécu.
Probablement pour rien.
samedi
Far Away
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John Doe
1 commentaire:
Toutes les bonnes choses ont une fin, évidemment ... Mais s'il n'y avait pas de mauvaises choses, que seraient les bonnes ? Qu'est ce que la vie sans la mort ?
Tout est un rien sans son opposé.
Malheureusement, parfois la vie se montre plus cruelle .
Pourquoi meurt on ?
Pourquoi a t ' on des sentimens ?
Pourquoi le passé est dur a oublier?
Tout ca n'est qu'un vaste esprit d'illusion.
La mort, on le sera jamais quand elle nous atteindra.
Les sentiments n'existent pas, ce n'est juste des doublets liants qui font croir qu'on ressent quelque chose pour un être humain sans importance dont on se souviendra quelques années plus tard en riant et en trouvant ca stupide. A ce moment la on se sera lié avec un autre atome mieux, ou pas.
Le passé, dur a oublier sur le moment. Mais notre petit esprit futil nous fera tout oublier un jour ou l'autre, a ce moment la le passé sera le futur de nos jours, car ce passé du présent sera enfouit loin derriere, dans un cimetiere.
On oubli tout, mais on s'en souvient.
Je reviendrais quand je t'aurais oubié.
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