dimanche

If I Can't



Comme au son du muezzin, les frissons nous viennent lorsque le stade se lève. La violence, dans les coulisses. Let this motherfucker. Les images de guerres, la dur réalité. Le temps s'arrête, qu'allez-vous faire ? Où regardent tous ces gens ? Ils ne regardent rien.
Echec et Mat, pour les USA. Terre de violence. Sao Paulo, aux rues cruelles. Les putes sur les trotoirs des favélas. La drogue et l'alcool. Le rap. New York. Rien.
Hooligans, en Great Britain, battes de baise-ball en main, il fracassent ce bout de rien. Toujours pour rien.
Rockers en furie, ils dédient leur âmes à Dieu. Adieux, leurs âmes, ils diront un jour, lorsque tout sera fini.
Bientôt le mondial de la décandence, du sport et des filles. Encore des balles perdues sur les hauteurs de Rio, rien que pour jouer. Comme des enfants, munis de faux on se tire dessus, dans les cages des escaliers, dans les cages des buts. Emprisonnés dans cette semi liberté, semi instantanée, être enfant du Sud, ça ne signifie plus rien. Rien de plus que du Foot.

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